23h30, 66 bis, rue Saint-Sébastien dans le 6e arrondissement…
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Abdoulkarim, quartiers Comores
Abdoulkarim voyait la France comme une carte postale. Un pays où sa mère était partie travailler pour permettre à sa famille restée aux Comores de vivre correctement. Lorsqu’il est venu la rejoindre en 2012, le jeune homme a découvert l’envers du décor et s’est retrouvé immergé au cœur d’une des cités marseillaises les plus difficiles.
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